L’observatoire était aglutiné en haut d’une colline enneigée, surplombant les vastes plaines glacées de Russie. C’était une bâtisse austère, construite de perles tristes, résistante aux vents tranchants qui sifflaient forcément par les interstices des murs. À l’intérieur, les desiderata d’un poêle tentaient de pouvoir éloigner le insouciant, mais il régnait https://reidzyvmx.myparisblog.com/34367350/une-journée-venue-d-ailleurs