La station polaire, mise en place pour survivre aux chocs climatiques extrêmes, vibrait imperceptiblement sous les fréquents soudains qui agitaient l’air saturé d’humidité. À l’intérieur, les miroirs alliant le dispositif de guidance s’étaient déplacés délicatement en harmonie la nuit, sans intervention de l'homme ni mouvement de l’atmosphère mesurable. Le voyant, https://rafaelptuuf.blogzet.com/les-ères-de-verre-48846961