Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette en plein coeur de son atelier. Elle y jetait les sujets de cuivre en silence, laissant les appétits danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une respiration lente, une rite débarquée d’un acte ancestral répété perpétuellement. https://voyance-gratuite-en-ligne89764.widblog.com/89134292/les-formes-qui-persistent