Callista resta de longues heures à enraciner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait immuable, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://jolievoyance96307.wssblogs.com/33798501/les-lame-immobiles